Depuis peu, j’ai entrepris une activité qui a beaucoup d’importance pour moi. J’ai créé mon auto-entreprise d’animation de communauté internet et de conseil en architecture réseau.
Je viens de commencer à travailler sur mes premiers contrats. Je suis vraiment ravis de ma nouvelle situation, j’ai de nombreuses opportunités sur des projets super intéressant et innovant. C’est avec beaucoup de plaisirs et d’envie de bien faire que je m’investis à n’en plus compter mes heures.
Mais voilà, de nombreuses questions éthiques se posent à moi car la « profession » que j’exerce requiert un tacte particulier et une éthique forte. Ors, j’ai l’impression, à lire les appels d’offre et autres propositions, que la grande majorité des entreprises envisagent le métier de « community manager » avec une envie afficher d’exploiter des bénévoles afin de créer de la valeur autour de leur marque. C’est d’ailleurs la définition couramment admise, le community manager a pour role de créer une communauté qui doit défendre, promouvoir une marque et créer de la valeur pour l’entreprise. D’ailleurs, il n’y a pas que les entreprises qui recherchent des « community manager », les fondations, les associations, les partis politiques les utilisent également.