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Y a-t-il un logiciel libre pour nous sauver de l’insécurité numérique ?

Les internautes averties sont de plus en plus inquiets, Facebook par la voix de son fondateur Marc Zuckerberg annonce un tournant dans la politique de confidentialité des données.

Les gens sont à l’aise, non seule­ment avec le fait de par­ta­ger de plus en plus d’informations de tout ordre, mais ils sont égale­ment plus ouverts, et à plus de per­sonnes. La norme sociale a évoluée ces der­nières années.

Nous consi­dé­rons que notre rôle au sein de ce sys­tème est d’innover constam­ment, et de nous mettre à jour pour reflé­ter cette évolu­tion des normes sociales actuelles.

(via l’excellent article de readwriteweb)

Ainsi, par défaut aujourd’hui, les informations personnelles des utilisateurs sont publics. Pour mieux faire passer la pilule de cette évolution, reflétant soit disant de nouvelles mœurs, facebook a mis à disposition un ensemble de possibilités pour mieux maitriser ses informations personnelles. Ces nouvelles dispositions sont en effet les bienvenue car indispensable pour tout utilisateur de facebook mais combien savent l’utiliser ?

Après une petite enquête sur le terrain auprès de certains amis qu’on pourrait qualifier d’utilisateur lambda, il apparait que non seulement ils ne sont pas au courant de ce changement de politique mais qu’en plus ils n’ont pas connaissance de ce système de gestion des permissions. Ce constat est extrêmement troublant et il est très probable que plus de moitié des utilisateurs de facebook soient dans cette même situation.

Alors, à qui la faute ? Aux utilisateurs ? A facebook ? Aux pouvoirs public ?

Les responsabilités sont partagées. Facebook aurait dus mieux informer ses utilisateurs des changements de politiques afin que ceux-ci prennent véritablement en mains le contrôle de leurs données. Bien entendu, ce n’est pas dans l’intérêt de l’entreprise car plus nombreuses les informations personnelles seront publics, plus les utilisateurs resteront scotchés à facebook et plus la rente publicitaire sera importante. C’est un calcule simple mais d’une logique implacable.

Les utilisateurs ne se prennent-ils pas suffisamment en mains ? C’est fort possible. Nombre d’internautes ne sont pas conscient de l’impacte que peut avoir leur identité numérique sur leur vie réelle, que ce soit de manière positive ou négative. Que ce soit personnellement ou professionnellement internet prend un espace de plus en plus important dans la vie des citoyens et il me paraît indispensable que chacun individuellement fasse l’effort de comprendre ce phénomène ou ne serait-ce simplement le système de gestions des permissions de facebook.

Le pouvoir public est absent sur cette question. Ou plutôt, il prend le problème à l’envers. A l’exemple des prédateurs économiques des données personnelles, le gouvernement veux s’infiltrer sur les pc de ses citoyens en installant des mouchards par le biais du système Hadopi. Second manquement, le gouvernement actuel laisse crever la CNIL la gueule ouverte qui est un obstacle à leur politique de controle. Informer les internautes de l’importance de leurs données personnelles reviendrait à mettre des batons dans les roues des projets de lois liberticides que sont Hadopi et Loppsi. Enfin, cette problématique devrait être pleinement intégrée dans une nouvelle matière de l’enseignement public destinée aux jeunes français durant le long apprentissage du « lire et écrire ».

Puisque la logique de Facebook ne l’incite pas à protéger les données de ses utilisateurs et que les décisions stratégiques de l’entreprises sont prise par les dirigeants et les actionnaires, il est important de garder à l’esprit que nous sommes dans un état d’insécurité numérique.

Face à cette situation chaque jour de plus en plus inquiétante, il est du devoir des puissances publics et des communautés citoyennes de construire une alternative sécurisée de réseau social grand public libre et inter-opérable. 

La question que je me pose et que nous devrions, je crois, être nombreux à nous poser est: ce logiciel libre alternatif existe-t-il ? Et si oui, comment le promouvoir ?

21 commentaires pour “Y a-t-il un logiciel libre pour nous sauver de l’insécurité numérique ?

  1. Je ne pense pas que ce soit une question de logiciel libre. D’ailleurs, facebook est programmé en php, qui est libre !
    C’est avant tout un problème d’éducation. Comme tu le dis, un grand nombre d’utilisateurs ne sont pas conscients du devenir de leurs données personnelles. Par contre facebook avait quand même communiqué sur les changements de conditions, il y avait un bandeau en haut de la page. Mais combien d’utilisateurs ont eu le courage de lire les nouvelles conditions d’utilisation ?
    Beaucoup d’utilisateurs mettent aussi leurs photos sans se poser la question de savoir où elles sont stockées et sous quelles conditions.
    Tant qu’un réseau social sera la propriété d’une firme privée, ne nous faisons pas d’illusions, les données seront utilisées à des fins commerciales. C’est le prix de la gratuité !
    La question est donc : accepterions-nous de payer le prix de la vie privée pour un réseau social ?

  2. Facebook est écrit en php mais il n’est pas libre.

    « Tant qu’un réseau social sera la propriété d’une firme privée, ne nous faisons pas d’illusions, les données seront utilisées à des fins commerciales. C’est le prix de la gratuité ! »

    C’est pourquoi je propose un logiciel libre de la même trempe que facebook, les utilisateurs pourraient eux même se mettre en réseau en installant ce logiciel sans avoir besoin des services de la société facebook.

  3. Article intéressant.
    Vous cherchez un réseau social décentralisé libre ?
    Noserub ! http://noserub.com
    Je l’ai pas testé, mais peut-être feras-tu prochainement un article dessus Antonin ? 🙂
    Je l’attends avec impatience. :p

  4. Hello,

    Php est libre, mais pas fessedebouc, php n’empeche pas de créer des applis proprios – (mal)heureusement.

    Alors vite fait :

    WordPress mu + BuddyPress permet de se faire un reseau social libre. La prochaine version 3.0 (pour avril si tout va bien) de WordPress, fusionnera les deux WordPress, je ne sais pas comment BuddyPress réagira pour le moment.
    Reste le problème de l’installation pour l’utilisateur (l’esclave 2.0 plutôt ?) lambda, habitué à juste cliquer sur son fessedebouc et ça marche, de l’hébergement de l’export des données etc.

    La problèmatique est comme dit plus haut : l’éducation.
    Mais dans le fond c’est pas tout à fait vrai, même informés, les utilisateurs fessedebouc y reste, – je le vois tous les jours dans mon entourage – l’attraction de la preuve sociale est forte, très forte.(voir wiki preuve sociale) jabber marche très bien, mais la majorité reste sur msn – mes potes y sont donc, j’y vais.
    Sans parler des partenariats avec les opérateurs, les accès mobile etc. Tout est fait pour ne pas aller ailleurs.

    Enfin, on s’en fout, si certains veulent y participer tant mieux pour eux, et pour le compte en banque du patron de fessedebouc, j’ai rien contre fessedebouc, le seul problème c’est l’impact sur le reste du web (neutralité etc…) et la suspicion qui pourrait naître du fait de ne pas être sur fessedebouc à la longue.

    Mes deux centimes d’€.
    ps:j’arrive ici par le planet libre.

  5. Je ne connaissais pas Movim et Noserub.

    Après teste, ils me paraissent couvrir l’essentiel des fonctionnalités mais l’ergonomie c’est autre chose.

    Je crois que la meilleure solution consistera à créer un plugin qui permette de mettre les blogs en réseaux sous réserve que ceux-ci gèrent mieux la video, les images, le micro-blogging et le link blogging.

  6. Bonjour,

    Le succès de Facebook, c’est le nombre de personnes qui y sont connectées. Offrir gratuitement en ligne une plateforme d’excellent niveau, c’est ce que Google avait fait avant, ça marche et c’est incontournable. Gmail ne perdra pas sa place quand bien même Thunderbird deviendrait encore plus génial qu’aujourd’hui. Tout un système tourne derrière Gmail et les utilisateurs adorent ce système parce qu’il répond à leurs besoins et à leurs envies.
    La question de la dépendence, du respect des droits numériques n’est pas une question de produits mais une question de droit.
    Pour que cela change, le terrain d’action est logiquement du domaine légal et politique. Ecrire à son député, s’inscrire sur les listes électorales, être candidat à une élection locale, s’inscrire à un parti politique, débattre publiquement sur Internet, etc. Autant d’actions qui peuvent être envisagées…

    Qu’en pensez-vous ?

  7. @Phil,
    Vous avez raison, facebook et google propose des services encore inégalés. Leur succès n’est pas démérité cependant cela ne leur laisse pas le droit de faire n’importe quoi avec les données des utilisateurs.

    Concernant les moyens que vous proposez pour agir sur ces problématiques, honnêtement, je n’y crois pas du tout.

    Premièrement car on parle de multinationale qui sont bien plus puissante qu’un état nation comme la France. Le jeu politique nationale ne pourra rien imposer. Alors bien sur, il y a l’Europe, effectivement au niveau européen il y a probablement des possibilités d’imposer des règles qui obligeraient de mieux respecter les utilisateurs. Ceci étant, je ne crois pas que l’Union Européenne ait vocation a donner le pouvoir aux utilisateurs sur un réseau social contrôlé par une entreprise, et c’est tout à fait normal. Facebook est la seule propriété de facebook, et il en fait presque ce qu’il en veux.

    Je crois que c’est aux utilisateurs et citoyens de se mobiliser sur ce sujet et de réagir.

    Merci pour votre commentaire des plus constructif.

  8. @Tyler
    Oui, status.net je connais et c’est excellent ! Je pense le coupler très bientôt à mon blog.

  9. Hello,
    Quelques remarques sur le commentaire de Monsieur Phil, ci-dessus.

    «Le succès de Facebook, c’est le nombre de personnes qui y sont connectées.»
    Oui. Encore une fois, preuve sociale. Que dois-je faire ? Je ne sais pas, je fais ce que les autres font. Et je ne cherche pas à comprendre ce qu’il y a derrière. Cette fois ci je poste le lien :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Preuve
    On suivra avec intérêt le lien sur cette page vers Mouton de panurge, et pensée de groupe.

    «Offrir gratuitement en ligne une plateforme d’excellent niveau»
    C’est pas gratuit. Même si le coût n’est pas monétaire pour l’utilisateur. (cf les dernières déclarations du patron de fessedebouc, à l’origine de ce billet sur ce blog)

    «Gmail ne perdra pas sa place quand bien même Thunderbird»
    Thunderbird est un client lourd, inutile sans compte mail.
    Gmail est une interface web de mail, le service mail étant « offert » par le prestataire, en échange de ciblage publicitaire et de scan de la correspondance des utilisateurs du même service (lire les conditions d’utilisation du service)
    Le mail à un coût : soit on s’installe un serveur – location du serveur – avec un nom de domaine – achat dudit domaine – sans compter l’investissement personnel dans l’apprentissage des techniques liées à la chose. Souvent l’utilisateur lambda, fera confiance, sans lire les conditions d’utilisation des services, c’est plus simple, et tout le monde « en a un ».
    Il reste aussi des solutions, payantes, avec un nom de domaine chez les hébergeurs.

    «La question de la dépendence, du respect des droits numériques n’est pas une question de produits mais une question de droit.»
    Il y a deux notions qui passent dans votre argumentaire et quelque chose m’échappe. La dépendance et le respect des droits.
    Chacun à le droit d’être dépendant de ce qu’il veut – j’aime le sexe, mais je ne viole pas mes partenaires dans la rue, je les séduis – chacun est libre d’utiliser fessedebouc en connaissance de cause, toujours les conditions d’utilisation du service, le problème est plutôt : les utilisateurs savent-ils vraiment dans quoi ils s’engagent ? Je n’ai pas de carte bleue, j’ai tout fais pour ne pas en avoir une, demandé à mon patron de me payer en liquide, payer mes factures en liquide etc…c’est très très dur, ça emmerde tout le monde, et je passe pour un dingue, car c’est « la norme » acceptée par tous, sauf que je ne sais pas – en fait si je sais – ce que ma banque et le système de carte bancaire font des données.
    Quant au produit il est plus impliqué que vous semblez le penser. Vos données appartiennent au fournisseur – dans le cas fessedebouc ici, relire les conditions d’utilisation du service….encore – vous deployez un BuddyPress, ou ellg, ou autre, vous êtes maître de vos données, et des données des gens qui vous inviterez à vous rejoindre sur votre serveur, ici c’est plus la confiance qui entre en jeu. Je ferme le compte d’un ami je détruis completement ses données de ma base.

    «Pour que cela change, le terrain d’action est logiquement du domaine légal et politique»

    Alors là…plus les politiques parlent ou s’occupent d’une chose, plus cette chose disparaît. Alors laisser des politiques s’occuper de liberté…c’est déjà la perdre.
    Il y a des années – pas si loin – un fichier d’empreintes génétiques a été mis en place, le discours était : reservé aux agresseurs sexuel. Aujourd’hui vous manifestez tranquillement dans la rue, ca part en cacahuète, les flics vous arrêtent et vous demande un prélevement d’adn pour le fichier, le refus est passible d’amende et de prison.
    Ça laisse songeur, quand on entend le discours concernant la loi pour le filtrage du net, ils refont la même chose, et ça va passer. Le seul but étant de limiter la parole sur le grand méchant internet.

    Je cite l’ancien ministre de la culture :

    «[...]e compte bien, par exemple, m’attaquer un jour au problème de la presse et de l’Internet. C’est un autre sujet capital parce qu’il n’y aura pas d’informations de qualité sur l’Internet sans de vraies signatures, de vrais acteurs dont c’est le métier. L’Internet est une grande chance, mais je ne veux pas l’idéaliser et sans un cadre clair, beaucoup de ces chances pourraient être gâchées »

    c’était en 2006. On y va pas à pas, on est en démocratie, les matraques sont médiatiques, pas réelles, (enfin pas tout de suite) il faut modeler l’opinion publique grace aux médias. Vous remarquerez le « internet grande chance » et penserez à ma remarque plus haut ( plus ils parlent de quelque chose, moins cette chose existe)
    oula…j’ai fait un peu long…

  10. @Tyler
    Complètement en phase avec tes propos.

    « Alors là…plus les politiques parlent ou s’occupent d’une chose, plus cette chose disparaît. Alors laisser des politiques s’occuper de liberté…c’est déjà la perdre. »

  11. La responsabilité est avant tout à l’utilisateur. Si l’utilisateur n’utiliserai que des services qui respectent leur privés et serait responsables de leur données sur Internet et ferais un petit effort au lieu d’etre de simple consommateurs, les services seraient obligés de s’adapter.

  12. Oui, la politique va trop souvent dans un sens que je ne veux pas.
    Deux choix alors, soit je lui tourne le dos soit je m’y implique peu ou prou. La politique est faite de compromis, elle est aussi faite par les humains qui la mène. Plus il y a parmi eux de gens de bonne volonté, plus on a de chances que tout cela aille « dans le bon sens ».
    Rien de miraculeux à attendre, mais je voulais juste dire cela.

    Ma comparaison Gmail/Tbird est bancale, je l’assume. Google comme FB sont dominants parce que leur service est excellent et qu’ils offrent un service gratuit. Lutter contre leur position monopolistique est du domaine légal, on n’y parviendra pas avec des outils, je ne le crois pas. C’est Rockfeller je crois qui disait quelque chose comme « vous savez que vous avez gagné quand l’Etat vous demande d’arrêter ».

    Il me semble qu’il y a donc deux sujets qui se croisent dans ce débat à mon humble avis. Celui, à court terme de l’engagement plus ou moins actif et celui du cycle de vie des monopoles.
    Qu’en dites-vous ?

  13. Hello
    Pour moi, je vois le problème légèrement différemment :
    Le fait est que Facebook s’approprie les données de ses utilisateurs et les réutilise comme bon lui semble. C’est immoral mais il en a (malheureusement ?) le droit.
    La plupart des utilisateurs n’y accordent que peut d’importance et s’y inscrivent, poussés par, justement, la preuve sociale.
    Soit. C’est leur droit aussi, ils ont fait leur choix, plus ou moins en connaissance de cause.

    Par contre, la où je trouve que c’est pas normal, c’est ici :
    J’ai (j’utilise je mais d’autres personnes s’y reconnaîtront) envie d’interagir avec des amis à moi, partager des photos…. Ces amis sont sur Facebook, et je suis obliger de m’y inscrire pour le faire. Je n’ai pas la possibilité de choisir un autre service. Le fait que mes amis soit sur Facebook me prive d’un choix de service.
    Et ça je ne trouve pas ça normal.

    En fait le problème vient surtout de l’interropérabilité. Actuellement, je peux très bien envoyer un mail en utilisant mon serveur à une personne qui a son compte mail chez Gmail.
    Pour les réseaux sociaux, ça devrait être la même chose : je devrai pouvoir héberger mon service, sans pour autant perdre la connexion avec les autres.
    À partir de là, le fait que Facebook réutilise les données des autres devient un problème mineur.

  14. @Phil.
    «dans le bon sens»
    Disons que les 16 dernières années, avant j’étais trop jeune pour comprendre on va dire, nous ont prouvé le contraire. Si j’ouvre un bon livre d’histoire, le bon sens en général, à fait pas mal de massacre. Mais c’est un autre sujet.
    De plus n’oublions pas que ce sont des industriels du web, ils ont des moyens énormes. Des pdg et des acteurs sont reçus comme des chefs d’état à l’Elysée et des gens qui luttent pour leur indépendance sont ignorés – vous voyez de quoi/qui je parle n’est-ce pas.(cf les liens en bas de ce commentaire, juste pour rire)
    Je ne sais pas si les services de fessedebouc et de gogole sont excellents, je ne les utilise pas. Mais comme un certain système d’exploitation qui ne s’est pas imposé par ses qualités mais par des manoeuvres lobbystes et capitalistiques, ces services suivent le même chemin d’enfermement de leurs utilisateurs – d’ailleurs ne dit-on pas «ils n’ont pas d’utilisateurs, mais des otages » (cf la remarque de billux sur l’interopérabilité) voilà pourquoi j’utilise des logiciels libres, des openbsd, ou des Gnu/Linux.

    http://www.telegraph.co.uk/technolo

    @billux
    Oui vous avez tout à fait raison.
    Les logiciels libres peuvent contenir ces fonctions – xmpp, foaf, openid, rss- de communication et d’export des données. C’est à l’opposé de ce que recherche les réseaux sociaux type fessedebouc, et ce n’est pas leur intérêt de voir partir leurs « otages ». (voir l’affaire toute chaude de seppuku)

    Concernant votre juste remarque :
    «Le fait que mes amis soit sur Facebook me prive d’un choix de service.»
    Permettez moi une boutade, le jour où j’ai compris ce qu’était l’informatique, j’ai incité mes « amis » à venir sur jabber ou irc avec, il faut l’avouer, peu de succès, mais je m’en suis fait beaucoup, beaucoup d’autres.

    « À vivre sans faire de concessions, on se crée quelques inimitiés, mais
    on y gagne le privilège d’être entouré de gens exceptionnels. »
    Roland Lewin

    http://www.pcinpact.com/actu/news/2

    http://www.elysee.fr/photos/index.p

    http://www.elysee.fr/documents/inde

  15. Je suis en train de tester Noserub, qui serait apparemment « décentralisé », mais effectivement, l’interface est un peu jeune comparée à certains services tournant sur des applis propriétaires… Par contre, un bon point peut-être, Noserub s’appuie sur CakePHP, framework largement documenté, et soutenu par une grosse communauté. Il est donc possible, en théorie, d’y mettre une pincée d’Ajax, à l’aide de jquery par exemple… Je teste tout cela dans les semaines qui viennent, et je vous tiens au courant…

    PS : je vous invite aussi à suivre le projet Movim de près. C’est un projet d’envergure, mais l’équipe a l’air de se mettre en place.

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