On peut distinguer deux types de visions de la démocratie aujourd’hui, les démocraties où l’on est d’accord, et les démocraties où l’on est pas d’accord.
Lorsque j’ai adhéré au mouvement démocrate, j’ai pensé tout d’abord avoir rejoins une vision consensuelle de la démocratie. L’union nationale proposée par François Bayrou est un bon exemple de démocratie du consensus. Un peu comme la démocratie Allemande ou Italienne, pour gouverner il est nécessaire de rassembler de nombreux courants.
L’UDF était un parti consensuel. Il avait cette vision de la démocratie où pour avancer il faut faire des concessions. La politique du raisonnable pourrait-on dire.
Je pense que les militants démocrate qui pensaient de cette façon sont pratiquement tous parti au nouveau centre.