Chut ! N’écrivons pas trop gros, nous, blogueurs, risquerions de nous faire repérer. Les archéo-politiques nous craignent alors ils voudraient que l’on se taise. « Le bâton ! » C’est ce qui arrive aux p’tites frappes lorsqu’elles ouvrent trop grand leurs gueules de cons. On nous menace, on nous intimide, on nous brutalise, dans le but de nous faire taire et retirer de nos blogs l’information ou l’opinion qui ne les arrange pas.
Ces inadaptés, qu’ils fassent parti de ces gens dont on ne sait ce qu’ils font au MoDem ou non, ont recours à une méthode très diplomatique: la justice (qu’ils veulent faire croire de leur côté). On ne discute pas, on ne consteste pas publiquement, pourquoi donneraient-ils leur version des faits ? Ils ne sont pas des p’tits merdeux de blogueurs diffamant à tout bout de champ. La démocratie doit s’exercer dans l’opacité de menaces et d’intimidations privées. Mais cela ne fonctionne plus. La transparence a gagné tous les corps de notre société. Le processus est irréversible, pour le plus grand malheur de certains.
Ces archéo-politiques préfèrent donc menacer avec le bâton qu’user de leur parole. C’est pour cette raison qu’ils sont faibles. Ils pensent, par le baton, préserver leur image, alors qu’en réalité, il se passe tout le contraire. Ils opèrent un véritable suicide médiatique. Une bonne partie des internautes démocrates le savent aujourd’hui et même au-de-là de la blogosphère MoDem: la liberté de la presse ce n’est pas trop leur truc à Monsieur D. et madame N. (on est jamais trop prudent) L’un soutenant la liste de Serge Dassault, l’autre ayant proféré les pires insanités maintes fois diffusées sur internet… On situe les personnages.
A l’aube d’une démocratie de la communication, époque bénie où le citoyen est en train recouvrir tout pouvoir, il est de bon ton de discuter d’égale à égale, courageusement et calmement autour de l’infini table du web. Nous devons prendre nos responsabilités. Pourquoi ne pas proposer, à ces gens qui semblent si presser de sortir les armes, un droit de réponse ? Ce serait une façon correcte de fonctionner il me semble. Dans cette nouvelle société où chacun d’entre nous peut devenir le centre de gravité du monde entier éphémèrement (comme cet homme au salon de l’agriculture qui a refusé de serrer la mains à qui l’on sait) il est très risquer de jouer sournoisement. C’est une variable qu’il faudra intégrer au calcule politique désormais.
Nombreux sont les archéo-politiques qui en feront encore la douloureuse expérience. Mais un jour viendra où ils comprendront, et on leur pardonnera.
Enfin, moi je leur pardonnerais en tout cas. Mais il faut que les repentances soient sincères 🙂